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Juin
La bonne attitude… et la pire…
Par Marie CROCQUET • Publié le 13/06/2019
LA BONNE ATTITUDE :
Merci pour Ce courrier envoyé par une nouvelle famille à trois de nos CM2 pour les remercier de leur bienveillance et amabilité lors de l'accueil des nouveaux élèves. Tout le monde ne pense pas forcément à le faire et pourtant cela va réjouir ces trois élèves.

LA PIRE DES ATTITUDES :
Ce matin, un échange entre deux mamans automobilistes, a dégénéré de façon violente et incompréhensible pour moi.
Cet incident sera certainement géré par la police et éventuellement par la justice.
Ce qui a lieu en dehors de l'établissement n'est pas de mon ressort mais ne peut me laisser indifférent. J'en suis triste et effondré…
N'étant pas directement concerné, je n'ai normalement pas à le gérer ; mais que je dois l'aborder pour rappeler l'attitude qu'on est en droit d'attendre de parents du Sacré-Cœur. Car je constate le retour de comportements insupportables.
En effet, peu de temps avant, j'ai été obligé de reprendre fermement à une grand-mère qui invectivait le personnel et dénigrait l'école comme son fonctionnement avec des mots grossiers. Les non-respects des horaires sont de plus en plus fréquents et le soir de nombreux parents ou responsables arrivent entre 10 et 30 min en retard. Beaucoup continuent à bloquer la circulation, les portails et les portillons avec leurs voitures ou deux-roues. D'autres oublient systématiquement leur badge d'accès ou font tout pour ne pas le présenter bien en évidence. Combien de fois vais-je devoir rappeler ce qu'il faut faire ou ne pas faire ?

SOLUTION :
Je demande donc à tous de bien garder le cap de notre Projet (Il serait bon de le relire comme prévu…) et de respecter le règlement et toutes les consignes à la lettre.
Ce respect permettra alors également le respect du personnel et des enseignants.

CONSEIL :
La personne (si elle fait bien partie de l'école) qui aurait "agressé" une autre maman ce matin est donc priée de m'appeler ou de venir me rencontrer afin de me donner sa version et des explications.
Ceci dit, comme pour les enfants, je considère que rien ne doit mener à l'agression physique, c'est une erreur et cela ne mène nulle part.

Très, trop occupé et préoccupé par diverses urgences, j'écris ce mot à la volée et ne l'ai pas relu… Je le ferai plus tard.
Mais au moins, l'essentiel est dit…

M. PUFAL