8
Décembre
Fête des Lumières et de Marie
Par Cécile BERTRAND • Publié le 08/12/2021
Par Cécile BERTRAND • Publié le 08/12/2021
A l’occasion de la fête des lumières et de Marie du 8 décembre, nous avons cette année renoué avec une très ancienne tradition des écoles du Sacré Cœur.
Au début du XXème siècle en effet, la tradition voyait les élèves des écoles du Sacré Cœur parcourir dans l’école un chemin tout illuminé, ponctué par des tableaux représentant des scènes de la vie de Marie. Chaque élève portait un lys blanc à la main (symbole de pureté et fleur de Marie) et le déposait au pied de la statue de la Vierge Marie de la chapelle en disant « Ô Marie Immaculée, je vous confie le lys de mon cœur, soyez-en la gardienne pour toujours ».
Modestement pour cette première reprise, chaque classe a pu suivre ce parcours lumineux de l’attente de Marie, et en faire le parallèle, pendant ce temps de l’Avent, avec notre propre attente de Noël et de la venue de Jésus petit enfant.
Des regards illuminés ou perdus dans la contemplation des tableaux, tous en tout cas se sont émus en réalisant qu’ils accomplissaient un geste perpétué par les élèves du Sacré Cœur depuis si longtemps, comme un sentiment d’appartenance à une réalité plus grande que leur école.
Au début du XXème siècle en effet, la tradition voyait les élèves des écoles du Sacré Cœur parcourir dans l’école un chemin tout illuminé, ponctué par des tableaux représentant des scènes de la vie de Marie. Chaque élève portait un lys blanc à la main (symbole de pureté et fleur de Marie) et le déposait au pied de la statue de la Vierge Marie de la chapelle en disant « Ô Marie Immaculée, je vous confie le lys de mon cœur, soyez-en la gardienne pour toujours ».
Modestement pour cette première reprise, chaque classe a pu suivre ce parcours lumineux de l’attente de Marie, et en faire le parallèle, pendant ce temps de l’Avent, avec notre propre attente de Noël et de la venue de Jésus petit enfant.
Des regards illuminés ou perdus dans la contemplation des tableaux, tous en tout cas se sont émus en réalisant qu’ils accomplissaient un geste perpétué par les élèves du Sacré Cœur depuis si longtemps, comme un sentiment d’appartenance à une réalité plus grande que leur école.